En cette veille de Noël, j’ai décidé de faire acte de contrition. Je vais, cher lectorat attentif, me mettre à nu devant vous (photo n°1). J’ai choisi pour gagner ma place à la droite de Kurt Cobain, de vous dévoiler l’une de mes plus grandes perversités (photo n°2, un peu floue c’est vrai). Accrochez-vous à tout ce que vous pouvez, la révélation que je m’apprête à exposer à vos yeux bientôt ébahis, pourrait faire trembler le plus coriace des Orques.
J’aime les chansons de Mylène Framer, et pire, je les analyse.
Petit florilège.
- Ma m’man à tort : Ouais, la mienne aussi.
- Lis Bertine ! ou Libère Tine ! (j’ai un doute) : En tous cas une injonction.
- Pourvu qu’elles soient douze : Un texte très engagé qui évite le piège de la rime facile.
- J’ai mes rations déshydratées : Une histoire post-apocalyptique.
- Sans con (trefaçon) : Je me demande si le parolier a fait exprès.
- Je te rends mon amour : Un problème de digestion sans doute.
- Je t’aime mêlant colique : La suite de la précédente.
- Trie Stannah : L’histoire d’un mec qui vend des monte-escaliers.
- Innamoramento : Elle gagna cette année-là la victoire du mot le plus difficile à prononcer dans une chanson.
- C’est une belle journée (je vais me coucher) : Dont les paroles, à l’origine étaient « C’est une belle journée, je vais me tuer », sans commentaire(s).
Non, mais sérieusement.
Gifnem29
Hum! J’ai comme l’impression que quelqu’un a oublié de prendre ses petites pilules, ce matin.
J’aimeJ’aime
Au lieu de persiffler, vous pourriez faire un commentaire sur votre caméo dans l’article « Atelier d’écriture ».
J’aimeJ’aime