
California girl – T. Jefferson Parker – Presses de la cité
Un début extrêmement prometteur, une suite plutôt classique, voire un peu décevante. Le résumé de ma vie.
L’intérêt principal de ce roman tient dans l’époque qu’il décrit, les années 60 dans le pays qui n’a pas de nom. On y croise pêle-mêle, des hippies, Charles Manson, Richard Nixon, un clochard avide de notoriété (les deux derniers étant des personnages différents), entre autres.
Un élément rend ce livre assez particulier. Quelques passages, cinq ou six, sont complètement incompréhensibles. D’une part, l’auteur (ou le traducteur) se trompe, deux fois, dans les prénoms des quatre frères Becker, d’autre part, l’auteur (ou le traducteur) consomme des produits illicites qui lui font perdre le fil de son récit voire le fil de sa grammaire voire le fil de sa langue voire le fil à couper le beurre de cacahuètes (ce constat est très discutable car il pourrait s’agir de la consommation personnelle du lecteur, cependant mon dernier pétard remonte à 2002, il était corsé, mais tout de même…).
Vous conseillé-je ce roman ? Alors là, débrouillez-vous, vous êtes grands maintenant. Mais bon, sauf si un incendie détruit votre bibliothèque intégralement, à l’exception de « California girl », vous pouvez utiliser les années qu’il vous reste à des lectures plus édifiantes.
Non, mais culturellement.
Jourd’hu
Bien envoyé 😁
J’aimeAimé par 1 personne
J’ai lu un « California Girls » de Simon Liberati où il est question des girls de Charles Manson. A te lire, il est mieux que celui-ci.
J’aimeJ’aime
Sûrement, Liberati est assez dingue pour ça.
J’aimeAimé par 1 personne
Je me régale avec tes critiques de bouquins, elles me suffiraient presque, le livre devient accessoire. Bonne soirée !
J’aimeJ’aime
Euh… Je prends cela pour un compliment, mais mes goûts n’engagent que moi. Bone soirée.
J’aimeAimé par 1 personne
💀🔪 merci !
J’aimeJ’aime