
Le livre des trépassés – Preston & Child – J’ai lu (L’archipel)
Ce que j’ai eu peur ! Hou la la ma pauvre dame !
J’ai bien cru que je n’aimais plus les romans de Child & Preston (oui, j’inverse l’ordre habituel de leurs noms pour un peu d’originalité). Il faut dire que les deux acolytes ne se sont pas trop cassé le tronc pour entamer cette histoire. C’était à la fois banal, limite ennuyeux, et avec un goût de déjà lu. Cinquante pages assez pénibles. Mais bon, lorsque l’on est parvenu au bout de « Meurtres pour rédemption », on peut tout lire (sauf Rousseau que personne ne devrait lire). Donc, je n’ai pas lâché l’affaire, et j’ai eu raison.
« Le livre des trépassés » est aussi bon que tous les autres bouquins de Preston & Child.
L’un d’entre vous ne partage pas mon opinion sur ces deux auteurs. Je vais donc essayer de vous expliquer pourquoi j’apprécie tant leurs oeuvres.
Child & Preston s’inscrivent dans la lignée des romans d’aventures du 19è siècle. Ils ne cherchent pas à dénoncer quoi que ce soit, ils veulent simplement divertir leur lectorat. Alors, certes, une étude universitaire, diligentée par des vieux cons engoncés dans leurs certitudes littéraires, n’offrirait pas à Preston & Child une exposition en Une de Télérama, ni une nomination pour le prix Nobel de littérature, mais cela n’a aucune importance.
Comme Dumas, Leroux, Twain, Dickens, Preston & Child racontent des histoires, et c’est déjà très bien (ok, je reconnais que Dickens peut être qualifié d’écrivain social).
Non, mais culturellement.
Jourd’hu
Je passe très vite – je très passe donc – puisque tu ne m’as pas vraiment donné envie de trainasser dans ce roman.
J’aimeAimé par 2 personnes
j’aime bien les romans historiques, je note
J’aimeAimé par 1 personne
Non non, ce n’est pas du tout un roman historique ! (j’ai dit ça ?)
J’aimeJ’aime