
Un linceul de brocart – James Melville – 10/18
Décidément, je ne suis pas programmé pour les histoires se déroulant au Japon, même celles écrites par un Anglais.
James Melville n’est pas le fils d’Herman. Il narre une histoire qui lui est rapportée par un policier japonais imaginaire, sans que je sois parvenu à comprendre le grade d’icelui. Une intrigue ultra-classique, des mots nippons, des villes tentaculaires et un coupable évident. Rien de bien nouveau sous le soleil levant.
Seul Mishima m’a convaincu alors que j’avais vingt ans et que ma tête était pleine d’idéaux.
Je le regrette vraiment, mais je suis complètement imperméable à la culture asiatique. Je suppose qu’il existe, quelque part, un auteur qui me séduirait mais pour l’instant je ne l’ai pas trouvé.
Je suis ouvert à toutes propositions.
Non, mais culturellement.
Jourd’hu
Mishima et sa « confession d’un masque » bouleversant.
Son suicide rituel devant les caméras de télévision a sonné l’interdiction du Seppuku, plus connu en occident par le « hara.kiri, mais c’est un mot vulgaire au japon et qui n’est pas utilisé.
(Désolée pour les noms japonais 🙂 hara..ventre, kiri..coupé 😦
Un auteur « moderne » Akira Mizubayashi qui dénonce le natioonalisme nippon dans son roman « âme brisée « …
Roman non traduit, écrit en francais par l’auteur.
Belle journée jourd’hu.
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Je note, merci. Belle journée à vous.
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