Quand Dieu boxait en amateur – Guy Boley

Quand Dieu boxait en amateur – Guy Boley – Folio (Gallimard)

Voilà l’énième roman sur le père. Ni mieux ni pire que les autres, même si je ne les a pas tous lus (« Le fils de l’homme invisible » de François Berléand, très bien).

Pas grand-chose à rajouter, sauf les qualités. La couverture, le titre et le nombre de pages (168).

Il me titille depuis un moment d’écrire sur mon géniteur. Outre que je ne trouverai pas d’éditeur, je crains de déverser un peu trop de fiel. En y réfléchissant, je me demande si, justement, un récit qui, pour une fois, ne ferait pas l’apologie du père, ne pourrait pas trouver son public. Allez, je vais me lancer. Sauf qu’il faudrait que j’enquête un brin. En effet, je ne sais pratiquement rien sur la jeunesse de cet homme, et le problème est que ceux qui l’ont connu dans ses jeunes années ont tous largement dépassé les 90 hivers. Ou alors, je brode.

Crotte encore un effet de l’absence du gène de la décision dans mon petit cerveau.

Mais, je suis tenté.

Non, mais culturellement.

Jourd’hu

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