(la rédaction de Jourdhumeur présente ses excuses à son lectorat attentif pour l’absence de billet, ce jour ; pour des raisons indépendantes de notre volonté, nous ne sommes pas en capacité de vous plier en quatre, de vous tordre de rire, ce lundi ; profitez-en pour pratiquer quelques élongations afin de préparer vos zygomatiques à de futurs rigolades pochardes ; quelques explications à cette désertion s’imposent : nous avons la flemme et aucune inspiration ; voilà, bonne journée ; occupez-vous ; n’oubliez pas de tousser dans votre coude ou dans celui du voisin s’il détourne la tête ; sortez le chien ; si vous ne possédez aucun canidé, sortez votre belle-mère, votre concierge ou votre petit oiseau si vous êtes photographe ; pensez aux poubelles si les éboueurs opèrent chez vous le lundi, voire le mardi ; au passage, mettez la main à la poche pour les étrennes de ces valeureux travailleurs de l’ordure ; concernant mes propres étrennes, veuillez demander mon rib en commentaires ; arrosez les plantes ; si vous ne possédez pas de verdure domestique, arrosez votre belle-mère, votre concierge ou la voisine ; vous pouvez regarder la boite à cons, mais évitez de l’allumer ; finissez ce putain de roman dont vous ne voyez pas la fin ; afin de vous motivez, je vous annonce que le coupable est le professeur Violet avec le chandelier dans la bibliothèque ; faites un peu de ménage ; si c’est propre chez vous, demandez mon adresse en commentaires ; mangez cinq fruits et légumes ; je rappelle à Ernest que la prune de papy ne compte pas, ni l’oignon de la voisine ; pardon ; prenez un peu l’air mais rendez-le dans l’état dans lequel vous l’avez trouvé ; si vous pratiquez le « dry january », courage, il ne reste qu’une semaine ; si vous ne pratiquez pas le « dry january », ne prenez pas le volant ; si vous prenez le volant, bonne chance ; ne faites pas d’enfant(s) ; faites l’enfant ; explorez ce magnifique site afin de dénicher des pépites rédigées alors que personne ne me lisait sauf Ernest et monsieur P. ; faites des compliments à monsieur P., il aime bien ; lisez « Le dodo… » du sieur Ernest, ça vaut le coup ; cessez de me harceler au téléphone pour recevoir des photos olé olé, je n’en ai plus ; souriez à la vie si vous aimez ça, la vie ; si vous n’aimez pas ça, n’en dégoûtez pas les autres ; allez à plus chez les Russes ; Ignaaaaaaaaaaaace au lit !)
Non, mais sérieusement.
Gifnem29
Ah oui, j’aime bien les compliments. Concours du meilleur compliment ouvert. Rien à gagner.
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Monsieur P : un type qu’a pas l’air mais qui est toujours dans le vent !
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Merci pour la pub ! Je te revaudrai* ça… promis, mon pote.
* Revaloir n’existe qu’à l’infinitif, le futur et le conditionnel (qu’on se le dise !).
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Bien, on se le dit alors.
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« pour des raisons indépendantes de notre volonté, nous ne sommes pas en capacité… » tiens, une crampe de blogueur. Mon ami Blanchon aussi fait la sienne ce matin.
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Une crampe de blogueur, cékoidon ?
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Questionnement épisodique sur la raison de bloguer, remise en question.
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Ok
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Cumpez !
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je suis solidaire, c’est pas fatiguant
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Nous sommes donc deux, c’est un début. Je veux bien être trésorier.
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Cher Monsieur Jourd’hu, s’il vous plait continuez donc à flemmer de temps en temps ! Mes zygomatiques en redemandent.
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