
La maison de Claudine – Colette – Le livre de poche (Hachette)
Colette, Colette, tu es la reine des paupiettes !
Pardon.
Comme toutes les jeunes filles de dix-sept ans, j’ai lu « Le blé en herbe ». A l’époque, j’étais amoureuse du beau Didier. Il était craquant avec ses longs cheveux gras, son front couvert de boutons, sa bouche en acier et sa voix qui ratait une note sur deux. « On s’est aimé dans le champ d’blé, t’en souviens-tu mon beau Didier, le ciel état couleur de pomme et on mâchait le même chewing-gum » (du à peu presque Hubert-Félix Thiéfaine). Et puis, Didier est parti à la ville faire de grandes études de chaudronnier. Il m’a oubliée dans les bras d’Anne-Marie. Ils se sont mariés, ont quatre enfants. Il est devenu un gros alcoolique aigri. Comme je le regrette mon beau Didier.
En vrai, ma toute première petite copine s’appelait Claudine (été 1981). Je l’ai revue voici trois ans. Etrange rencontre.
Non, mais culturellement.
Jourd’hu
grrr, lisez « la vagabonde », meilleure que les Claudine
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Aucun risque…
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Le meilleur de Colette, ce sont ses chats!
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Et le meilleur de ce bouquin, c’est Batou.
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Avoir été à la colle avec Claudine, ce devait être très Chanel, coco! (surtout pour se la jouer Peter Pan Pan!).
Bon, pour moins d’hermétisme (concernant mon commentaire) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Col_Claudine
Bon dimanche !
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Vu.
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C’est la plus grande. J’aime Colette depuis mes 16 ans. L’inventrice de l’autofiction.
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Pas très sympa pour Paulette qui perd son titre…
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