Dernier verre à Manhattan – Don Winslow – Points Policier – (Seuil)
Inutile de tortiller du croupion, Don Winslow est un des dix plus grands auteurs vivants. Ses romans traitant de l’étrange union des Etats-Unis avec la drogue sont les meilleurs jamais écrits à ce sujet (« La griffe du chien », un chef d’œuvre).
Je suppose que ce n’est pas une sinécure de s’immerger dans les arcanes des cartels et les malversations de la CIA (salut agent Smith, comment va depuis le temps ?). Par conséquent, Don a éprouvé le besoin d’écrire un roman plus classique, tout en rendant hommage aux glorieux anciens de la littérature noire des années 50 aux Etats-Unis (Chandler, Thompson, Himes…). Evidemment, le résultat est très bon. L’auteur évite, habilement, les pièges de l’escalade de la violence et du sanguinolent, pour livrer une histoire très bien ficelée de flics et de truands.
Un bon bol d’air frais.
Non, mais culturellement.
© Jourd’hu
Jours d'humeur 
💶😭
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Pas compris (comme d’hab’)
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(Si ce livre est bien = achat, et si : achat = pas d’économies contrairement aux titres que je n’achètent pas selon ta critique avisée et qui eux, me font accumuler les économies ! Capito ?) 🤨
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Voilà, avec des lettres je comprends mieux. Concernant Winslow, je te conseille davantage ses romans sur le trafic de drogue, malgré tout (et pour pas me faire engueuler).
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😂🤣🥴 un puriste, Jourd’hu ! J’aime 👍😍
Pardon je m’égare. Soyons sérieux, je ne connais pas du tout cet auteur. Horreur, malheur, je vais m’empresser de colmater cette brèche littéraire et me procurer un de ces précieux.
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« Don Winslow est un des dix plus grands auteurs vivants”. Qui sont les huit autres?
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Si ça ce n’est pas du compliment… Merci monsieur P., je vais passer une bonne journée (notre ami Clipperton ne trouve pas de port d’attache, je désespère un peu de jamais le voir en rayons).
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Je vous envoie un courriel.
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Ah bon, très bien.
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