
Terminal 4 – Hervé Jourdain – Pocket (Fleuve Noir)
Hervé Jourdain est un ancien capitaine de police de la brigade criminelle de Paris.
Voilà, bonne journée.
Bon, ok, je développe.
Je n’ai pas suivi la carrière de monsieur Jourdain dans la police. Je suis convaincu qu’il a mis un grand nombre de méchants sous les verrous. J’imagine qu’il était bien noté par sa hiérarchie et que ses collègues l’appréciaient beaucoup. Je suis même prêt à parier qu’il n’a jamais fait usage de son arme à mauvais escient. Un flic exemplaire, donc.
Franchement, il aurait dû continuer à courir après les voyous.
Non pas que son roman soit illisible, il se lit même très vite, mais en donnant l’impression de se plonger dans un rapport de police. L’écriture est plate, sans l’ombre d’un style. La plupart des phrases sont construites sur le schéma sujet+verbe+complément d’objet, avec un complément circonstanciel de temps en temps. Certes, on ne lui demande pas de faire du Proust, mais il y a des limites. De plus, ses personnages remplissent tous les clichés auxquels je fais souvent allusion ici : violent, neurasthénique, asocial, et tout le saint-frusquin.
Evitable.
Non, mais culturellement.
© Jourd’hu
Franchement, ta capuche, elle me fait flipper grave…
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C’est voulu. Ambiance…
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C’est pour cacher le chapeau rond?
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Gna gna gna
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Oui, cette capuche nous met en phase terminale… De trouille!
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Meuh non….
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Et j’en fuirais jusqu’au-delà du Jourdain!
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A pied !
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Tant que vous n’êtes pas en phase terminale tout va bien ! 😉
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Pas encore tout à fait !
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Vous devriez aller voir cette icône aux douleurs articulaires ! 😉
https://peinturechamanique.blog/2022/04/24/15-notule-15/
et le travail préalable dans la notule précédente n°14 🙂
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Si vous le mettez dans votre BAB, alors je passe mon chemin.
Ah, un nouvel acronyme ! Oui, dans le monde de l’aéroportuaire ils adorent cela.
La BAB, c’est la Boîte à Bouses. J’aime bien ma trouvaille, et celle-là c’est une spéciale Jourd’hu. Parce que que je vous aime bien, Jourd’hu, même dans votre costume de personnage de Stephen King (tapi dans le noir, surgissant de derrière un arbre dans la brume hivernale de Castle Rock).
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C’est gentil. Mais « bouses », c’est un peu fort. BAD, c’est bien (Boite à Daubes).
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Tout est question de point de vue. Je ne saurais vous dire pourquoi mais j’aime bien la bouse, posée dans le champ attendant patiemment que le distrait promeneur vienne y mettre un pied.
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