Je ne sais pas vous, cher lectorat attentif, mais moi, parfois, je me demande.
Et, pour le coup, je me demande vraiment.
Depuis quelques jours, un sujet de billet me titille le clavier. J’ai des démangeaisons au bout des doigts. Mes sourcils frétillent.
Toutefois, je ne veux pas d’ennuis avec la police. Surtout celle-là. La police autoproclamée.
Mon trait de caractère le plus affirmée n’est pas le courage. J’appartiens, même, à une catégorie humaine assez peu reluisante que l’on appelle les couards.
J’ai peur de tout. Des serpents, des chevals, des tiques, des ponts, des décisions (je suis vice champion de Bretagne 2007 des indécis), des cambrioleurs, de la foule, de l’hôpital (nosocomephobie), des arêtes dans le poisson, de la noyade, des cons sur la route, de la violence, de la douleur, de la peur…
(bon, avec cette liste, je ne suis pas près de passer devant monsieur le maire, tant mieux, j’ai peur des mariages)
Je ne me suis jamais battu. Ce n’est pas un regret, c’est un constat. Sans doute un rapport avec ma phobie de l’hôpital.
Le sujet qui me gratouille est, particulièrement, sensible. Cependant, je vous avoue que plus je vieillis plus j’ai envie de le combattre. Comme la grégarité ne fait pas non plus partie de ma panoplie, je dois agir seul. Mais pas dans l’ombre. Je ne veux pas être taxé de complotisme.
Je redoute d’aborder ce sujet car je ne pourrai pas y glisser de la fantaisie, je ne pourrai pas vous faire sourire. Ou alors, entre deux paragraphes, je raconterai une histoire de Toto. J’en connais une très rigolote mais, en 2022, elle risquerait de déclencher l’ire des associations contre le racisme. Pourtant, ce n’est qu’une histoire de Toto, rien d’autre.
Bien, j’ai réussi à noyer le poisson, ce soir. Demain est un autre jour. La nuit porte jarretelles.
Non, mais sérieusement.
© Gifnem29 – août 2022
Et alors, cette histoire de Toto ?
J’aimeJ’aime
Se lever le matin en espérant voir un jour nouveau
et un lieu où nous allons pouvoir déployer nos ailes, nous envoler vers nos cieux. Celles-ci embrassant les vastes plaines.
J’aimeAimé par 1 personne
ahahahaah ! je suis impatiente de lire la suite (pS : couarde aussi je suis)
J’aimeAimé par 1 personne
Osez, osez !
J’aimeJ’aime
Joséphine ?
J’aimeAimé par 1 personne
Oui ! A l’arrière des berlines.
J’aimeAimé par 1 personne
Et dans les librairies d’Arcachon où je fais votre pub aussi, eh eh !!
J’aimeJ’aime
Lyon, Arcachon, je vais bientôt être en rupture de stock (mais merci).
J’aimeAimé par 1 personne
Attention aux porte-jarretelles, elles peuvent vous sauter au nez en pleine nuit et sans vous dire « pardon » !
J’aimeAimé par 1 personne
Vous parlez d’expérience ?
J’aimeJ’aime
Pas tout à fait, car celles qui les portent sont du genre à me sauter au cou, pas au nez ! (bon is a joke!)
J’aimeAimé par 1 personne
Impatiente de lire la suite !
J’aimeAimé par 1 personne