Les contes de Paris – Jean-Michel Copin – Les Presses Littéraires
Cette lecture sort de l’ordinaire.
En effet, ce livre ne m’appartient pas, or je lis, exclusivement, les livres que je possède en propre. Oui, je sais. J’ai consulté. Rien à faire. Les psychiatres connaissent bien cette pathologie, mais ils n’y peuvent rien. Bon, ce n’est pas nouveau, si les psychiatres servaient à quelque chose, cela se saurait.
La coupable de ce bouleversement de mes habitudes s’appelle Catherine. Catherine jouit d’une chance extraordinaire. En effet, elle est ma cousine germaine.
En outre, en lectrice avisée, elle ne supporte pas les fautes de Français dans ses lectures. Elle m’a donc parlé de ce bouquin dans lequel elle a relevé un « après que » suivi du subjonctif ( horreur !) qu’elle ne parvenait pas à retrouver pour démontrer son courroux (coucou).
Ni une ni deux, je n’ai écouté que mon légendaire courage et je me suis plongé dans cette œuvre. Ma perspicacité grammaticale m’a permis de découvrir, à la page 23, l’innommable.
Voilà, mission accomplie.
Sinon, c’est un bouquin sympa.
Non, mais culturellement.
© Jourd’hu – novembre 2022
Jours d'humeur 
cette critique littéraire est excellente ! vous embrasserez Catherine pour moi
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Sans faute !
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N’oubliez pas les » nouveaux mystères de Paris » (15 tomes) de Léo Malet!
Nestor Burma vous salue bien ! Bonne journée !
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Malgré que vous avez dit 15 tomes, j’est comprit 15 tonnes !
Cela vous pique les yeux ? Moi, cela m’a piqué les doigts.
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Habitante à Lyon (je suppose), refaites-vous les griffes ! Léo Malet et un auteur majeur du polar (soit dit en passant).
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Ce sont toutes ces histoires de subjonctif, cela me met en émotion. Attention, lorsque le Lyon se met à rugir on ne maîtrise plus rien.
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Vous êtes donc le propriétaire de la CAL ?
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Ben non pourquoi. Ou si, mais comme tout le monde.
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Parce que vous dites que vous ne lisez que les livres que vous possédez en propres. Cela dit, les livres de CAL peuvent être sales parfois. Mais pas par chez vous, vous avez une CAL de luxe. Jalouse je suis.
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Propre au singulier, excuses plates.
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Je garde les livres des CAL, mais j’y dépose autre chose.
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Des huîtres ?
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Des espoirs.
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C’est beau.
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Des plaideurs ?
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J’hourd’hui s’engage dans la course du rhum. Il a mis ses réserves dans les CAL(es) Pas de soucis : il y aura des naufragés en Guadeloupe, mais pas avant !
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Ma dernière expérience au rhum remonte. C’était du rhum-piment. J’ai CALé, étais complètement déCALée, de fait j’ai été reCALée.
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