
Douce, douce vengeance – Jonas Jonasson – Pocket (Presses de la cité)
Jonas Jonasson est un auteur rigolo. Enfin, pas lui, ses romans. Quoique lui aussi, peut-être, je n’ai pas l’honneur de connaitre mon estimé collègue qui, à noter, lui non plus ne me connait pas. Je vénère les romanciers qui me font rire car le rire est le propre de l’homme comme disait je ne sais pas qui, mais surtout c’est le truc le plus important et le plus intéressant dans cette chienne de vie. Toutefois, les auteurs rigolos ne sont pas légion. Je pourrais même les compter sur les doigts de la main d’un artificier maladroit. Jonasson donc, et Paasilina (orthographe à vérifier, j’ai la flemme) et son excellent « Le fils du dieu de l’orage » (titre à vérifier, j’ai la flemme), plus un autre sûrement, mais qui m’échappe là tout de suite (Romain Puertolas ?).
« Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » et « L’analphabète qui savait compter » m’ont arraché de nombreux sourires et quelques éclats plus bruyants.
« Douce, douce vengeance » est, à mon sens, complètement raté. Jonasson a eu une idée qu’il n’a pas jugé bon de faire circuler autour de lui pour vérifier la validité d’icelle. C’est dommage.
Vivement le prochain.
© Jourd’hu – décembre 2022
Vous nous proposez cette critique en bonnet et col roulé… Du coup, on se demande ce que fait le lion des savanes sur le
Canapé ? C’est déroutant, tout ceci !
J’aimeAimé par 2 personnes
Tout un symbole. Si le lion était chez moi, il se serait réfugié dans mes bras pour ne pas mourir de froid.
J’aimeAimé par 2 personnes
Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » m’avait bien fait rire aussi.
J’aimeAimé par 1 personne
Monsieur Foenkinos me fait souvent bien rire aussi.
J’aimeJ’aime
en écrivain drôle, j’ajoute Fabrice Caro
J’aimeAimé par 2 personnes