Aujourd’hui, exceptionnellement, pas de billet d’humeur. Pour fêter mon 1343è article, je vais vous dévoiler un aspect d’internet que vous ne connaissez sûrement pas. Nous ne sommes que 20 000 (à une vache près) dans la confidence.
Non, il ne s’agit pas du DarkWeb, ce lieu sans foi ni loi où vous pouvez vous procurer des Mousquetaires (t’es vieux/vieille si tu as la référence) et des pièces de Fiat 850, en toute discrétion. Il n’est pas, non plus, question de vous initier aux forum(s) de discussions enflammées autour des sujets qui secouent le monde comme la couleur idéale du gloss pour une soirée mousse ou l’épilateur idoine pour éviter de ressembler à un vieil ours pour votre premier rendez-vous avec Brandon le beau gosse stéroïdé couvert de tatouages trop cool. Je ne vous dirigerai point davantage vers un site de ventes de vêtements vintage tout neufs issus des usines de Bangkok.
Non, tout cela ne présente aucun intérêt. Je veux vous parler du poumon de la vie, après l’oxygène, le chocolat, les livres, les films de Claude Lelouch, les couchers de soleil sur la mer de Barents par une fraîche soirée d’automne, le sourire d’un chaton tigré lorsqu’on lui apporte son lolo, le sourire de Lolo lorsqu’on lui apporte son chaton tigré, le feu de cheminée, le feu de cathédrale, j’ai nommé le jeu.
Pas les jeux vulgaires pratiqués dans les casingues des mornes cités balnéaires, les jeux de société qui se jouent à un (ou à plusieurs si vous connaissez des gens).
Je veux rendre à Maman Lyonnaise ce qui appartient à Maman Lyonnaise. C’est elle qui m’a fait découvrir « Cémantix » et « Pédantix » qui ne sont pas des habitants du village d’Astérix mais d’aimables passe-temps en ligne pour celles et ceux qui cherchent à combler quelques vides de leur vie. Même si votre vie est bien remplie d’ailleurs, car ces deux jeux présentent l’avantage de ne pas faire intervenir la notion de temps. C’est de la réflexion (attention, si vous n’êtes pas habitués à réfléchir, au début ça surprend) ludique. Vous pouvez coupler « Cémantix » à une autre activité.
Voilà, amusez-vous, et pour le lien, démerdez-vous.
Non, mais ludiquement.
© Gifnem29 – décembre 2022
Jours d'humeur 
J’y joue de temps en temps, quand j’ai le temps justement. Je confirme : c’est addictif 😉 Bon week-end à vous !
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Merci. Bon ouikène itou.
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Ben non ! On ne peut rien faire d’autre quand on y joue! Je n’ai pas pu me décoller de mon portable de toute l’après-midi d’hier pour renoncer lamentablement à 26 mots de la solution, (que je n’aurais trouvée qu’en un nombre de coups exponentiels)! Aujourd’hui, je suis tombée du lit à 5h pour m’y relancer et alors que le mot est fastoche (non je ne le donnerai à personne) je n’ai su l’obtenir qu’avec 37 coups! Mais « je l’aurai un jour, je l’aurai » plus vite demain… j’y compte bien!
Je ne voulais pas m’y mettre à ce jeu-addiction, en vous lisant tous les deux, vous et Maman Lyonnaise (Vous pourriez mettre le lien avec son blog sous son nom, quand même, puisque vous rendez à « Césarine » ce qui lui appartient!) puisque je savais être moins capable que vous… mais soudain, j’ai craqué… et je suis « tombée, tombééééééééééééééeeeeeee » dedans… et avec plaisir en plus!
Vous avez raison… c’est mieux que tout ce que vous avez cité plus haut… c’est Mental fortiche!
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ça c’est de l’info !!!!Merci beaucoup et très bon week-end
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Je vous en prie, appelez-moi Caroline.
Je rougis, être citée par l’auteur de mon précieux (peu disponible par ailleurs, j’ai eu chaud pour la Noël), une consécration. Je suis votre obligée, je me prosterne devant mon Dieu Pat’ la Rage.
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Comment ça « peu disponible » ?
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Oui, j’ai peut-être fait trop de publicité, encore un peu et je n’en avais plus pour moi ! Drame.
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Dans une librairie lyonnaise ?
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Non, en librairie je suis forcée de le commander et j’étais prise par le délai. Nous préparons la caravane et Poupou ce n’est pas simple. J’ai commandé sur un mastodonte de la vente en ligne.
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Dis, Caro qui pique nos coeurs, « Césarine » te chagrinait? Trèfle de plaisanterie fine!
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Je revendique la Carolitude. Et oui, tu ne veux pas nous rejoindre chez Pat’ avec nous et Poupou dans la caravane. Je suis vesquée.
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Faut pas ! Vous êtes mes deux divinités préférées et pour longtemps, si vous ne me claquez pas la porte virtuelle au nez! Me voir vous décevrait trop… On me mésestime quand on me côtoie… L’olibrius idéal est comme ce mot que l’on recherche avec plaisir chez Cémantix avant de passer au suivant… quand on veut l’attraper, il fuit. Le chercher nous comble, le trouver nous déroute. « Ah bon… C’était donc ça ! » (Comme dans la pub
télévisuelle actuelle des tickets de loto à gratter : « Ah tout de même ! »)
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