La nuit du mal – Giacometti & Ravenne

La nuit du mal – Giacometti & Ravenne – Le Livre de poche (JC Lattès)

(très mauvaise photo, certes, mais au moins certaines langues un peu trop bien pendues vont cesser de critiquer mon intérieur ; en vous remerciant)

« La nuit du mal », on dirait le titre d’un épisode des « Mystères de l’ouest » (« Wild wild west », Justin). Vous vous souvenez des « Mystères de l’ouest » ? Perso, j’adorais. Pourtant, James West m’énervait avec ses costumes près du corps, je préférais Artemus Gordon bien que sa voix française fût insupportable. Et puis le petit monsieur. Vous voyez le petit monsieur ? J’en ai fait des cauchemars. J’aimais bien l’idée d’habiter dans un train aussi. Pourtant, à l’époque, cela devait réduire considérablement les itinéraires conseillés. Et puis, pas facile de se garer entre le saloon et le bureau du shérif.

Sinon, j’ai lu « La nuit du mal ». Malgré un début un peu « facile », le duo d’auteurs retombe bien sur ses pattes avec sa spécialité de récupérer l’Histoire et de la tordre dans tous les sens sans, toutefois, la trahir (enfin, pas trop).

Attention, c’est un tome 2.

Non, mais culturellement.

© Jourd’hu – février 2023

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39 commentaires sur “La nuit du mal – Giacometti & Ravenne

  1. Puisque tu évoques Justin dans cet article, remarque qu’il emploie généralement le verbe critiquer dans son acception la plus large « Porter un jugement motivé sur quelqu’un ou sur quelque chose ». Il est très bien ton intérieur! En parler ne visait qu’à te montrer qu’on t’avait lu… mais qu’on n’avait rien à dire sur le bouquin (et par conséquent rien sur ta critique!). Je te demande très expressément, et en trois exemplaires contresignés, de balayer toutes mes interventions antérieures: passe un grand coup de balai pour effacer tout ce qui te chagrine peu ou prou! Et en prime, reçois mes excuses. Pardon. Je suis désolée. (Je regarde beaucoup de dramas… vraiment beaucoup!).

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      1. A qui le dites-vous ? GTM veut des crêpes alors une fois Petite Boulette nourrie, dents brossées et au lit, me voilà à faire les crêpes. Comme si j’étais bretonne, non, mais, lyonnaisement.

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  2. C’est gentil de convier le monde à vos relations commentatrices ! La vraie modernité… ce ne sont pas les émoticônes mais la conversation par email, même si nous, lecteurs, nous amuserions beaucoup moins. Merci pour la saynète du soir. Je souffle la bougie. A demain! ( Et à quatre pieds deux pouces en direction du ciel)

    Aimé par 1 personne

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