
La femme qui épousa un lion – Alexander McCall Smith – 10/18
AMS (je vais me contenter des initiales au lieu d’écrire à chaque fois Alexander McCall Smith, parce que Alexander McCall Smith c’est un peu long, j’espère qu’Alexander McCall Smith ne m’en voudra pas) abandonne le temps d’un recueil l’Agence n°1 des Dames Détectives de Precious Ramotswe pour explorer les contes et légendes d’une Afrique disparue, à l’époque où les animaux parlaient.
AMS lorgne du côté de La Fontaine et du Roman de Renart sans plagier qui que ce soit. C’est frais, inattendu, naïf et souvent amusant. Cet ouvrage se lit extrêmement vite ou à votre rythme en dégustant chaque histoire avant d’y réfléchir et d’en savourer la sagesse voire la sagacité.
J’ai beaucoup aimé Hyène (les animaux sont désignés par leur espèce, sans article) car la hyène n’est pas l’animal le plus sympathique de la savane, cependant les contes africains la présente davantage come une triple andouille que comme un animal cruel. Lièvre est très amusant, bien que je sois surpris que l’Afrique regorge de léporidés. Lion, quant à lui, détient déjà le meilleur rôle. Il est redouté, fort, mais un peu con aussi.
A découvrir, gentiment, au coin du feu.
Non, mais culturellement.
Jourd’hu
Le coin du feu est fournit avec le livre ?
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Malheureusement non…
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C’est ballot, je l’aurais bien acheté ce livre sinon.
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