4è de couv’

L’orphelinat des enfants perdus – Ollivier Truchet

Les Vosges. L’hiver. L’inspecteur Romuald Trigligzinskijaegraï est appelé pour enquêter sur une inquiétante disparition. Jocelyne Ricard, l’intendante de l’Orphelinat des Rhododendrons n’a plus donné de nouvelles depuis trois jours. De plus, d’énigmatiques slogans sont tagués sur les murs de la vénérable institution. « tagl la boloss ». « tes sales suffis dans le ionf ».

Luttant contre son goût prononcé pour la Suze cass’ et ses cauchemars remontant à une enfance ballotée entre familles d’accueil, l’inspecteur Triglizinskijaegraï, accompagné de sa collègue Sigrid Le Gonidec, ceinture noire de krav-maga et maman de quadruplés HPI, ne s’attend pas à découvrir l’innommable.

Où est passée l’intendante ?

Qui est cet homme étrange qui tond la pelouse deux fois par semaine ?

Y aura-t-il des choux de Bruxelles à midi ?

Autant de questions auxquelles devront répondre les deux policiers chevronnés pour résoudre l’énigme de l’orphelinat des enfants perdus.

Ollivier Truchet est né. Adolescent il dévore les romans de Paul-Jacques Bonzon. Après des études médiocres, il enseignera la SVT pendant 42 ans au lycée Patrick Topaloff de Perpète-les-Ours. A 73 ans, il se lance en littérature. « L’orphelinat des enfants perdus » est son premier et dernier roman. Ollivier Truchet est mort de la covid-19 avant-hier. Il a reçu le prix Paul-Loup Sulitzer à titre posthume.

« Un roman éblouissant de maîtrise, à lire au coin du feu » – Elle

« Disruptif » – Les Inrockuptibles

« Une narration métaphysique introspective digne des écrits de jeunesse de Lauwrence Durrell ; Truchet ou le retour de l’écriture asymptomatique dans une époque où la cursivité de l’apocope côtoie l’aphérèse et la synecdoque » – Lire (mais que des trucs chiants)

« Vends Opel Kadett gte, 458 000 kms, 23 euros à débattre » – Gisèle Truchet

Non, mais sérieusement.

Gifnem29

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